La belle enculée ne portait pas de culotte

Plus belle plus sauvage quand elle bien enculée

C’est en frissonnant de désir à la vision de ma belle enculée, la bite bien raide et bandant que je descendis les marches du Sauna.
Chaque fois, c’était la même chose, l’idée de baiser dans une boîte à partouze m’excitait. Je m’accoudais au bar, à côté de Marlène, une habituée des lieux que je sodomisais régulièrement, dont les seins se balançaient, ses tétons de salopes se frottant contre son verre glacé.

Marlène la belle enculée se vante de capacités anales exceptionnelles

J’engageais la conversation, ma main se baladant sur ses bonnes fesses dodues… Fallait croire que Marlène comprenait mieux ce que tu lui jactais avec une main sur le cul. Quand tu lui causais bien sagement sans la toucher elle ouvrait des yeux gros comme des billes de loto et te demandait de répéter. Par contre, un doigt dans le fion, et les connexions se remettaient en place dans ce calebasse !!

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Dans le cul de la belle sodomisée

Je glissais alors sans peine ma main dans la raie de son cul (elle portait un string). J’osais donc un doigt dans son anus. Elle appuya de son cul sur mon doigt comme pour me faire comprendre que pour elle, ce doigt c’était les amuse-gueules. Ça devenait une habitude. C’est encore Marlène que j’allais enculer ce soir !

Mais la, le poids de son boule fit que mon index s’enfonça dans dans son trou du cul. Tandis que l’on continuait à causer de la pluie et du veau temps, mon doigt tournait doucement dans son rectum. Quand la pipelette fit une pose, je retirais doucement mon doigt de son trou de balle pour le reniflais. Une odeur musqué s’en échappait qui causer à mes oreilles sur le mode « encule-moi maintenant! »

Prête à s’en prendre plein le fion

À peine ma bière avalée, j’attrapai Marlène par la touffe et la trainai vers une alcôve puante. Cette grosse chienne savait déjà ce qui l’attendait. Elle me montra son cul comme une vraie salope, la rondelle grande ouverte, bien chaude, prête à se faire bourrer salement. Y avait pas besoin de causer, son trou hurlait « viens me défoncer » rien qu’à le zieuter. Dans ce sauna à partouze, la sodomie, c’était pas un bonus, c’était la règle.

Je la bourre comme une bête

En trois secondes, la teub sortie, j’écrasai son string de merde et enfonçai ma queue bien raide dans sa rondelle offerte. Elle gueula comme une truie qu’on égorge. Et moi, je pilonnais sans retenue, claquant son cul avec la violence d’un taulard en rut. Mon gland labourait ses boyaux pendant qu’elle haletait comme une chienne au bout de sa laisse. Elle voulait du sale, elle allait en bouffer ce soir, et pas qu’un peu !

Sodome sur place, et pas à moitié

Marlène s’agrippait aux murs dégueulasses de l’alcôve, sa chatte dégoulinant d’envie. Chaque coup de queue résonnait dans son cul comme une claque. Sa rondelle s’élargissait à chaque va-et-vient brutal, avalant ma bite comme un puits sans fond. L’odeur de foutre, de sueur et de chatte humide saturait l’air. Une vraie putain de bacchanale, version hard et sans pause tendresse.

Je crache tout dans son cul dilaté

Mes couilles pleines tapaient son cul rouge à chaque bourrade. Je sentis le jus monter, et dans un dernier coup de reins bestial, je vidai mes couilles au fond de son trou, lui remplissant l’anus de ma crème épaisse. Marlène, cette enculée infâme, grogna en sentant ma giclée chaude inonder ses entrailles. Je restai quelques secondes planté dans son cul béant, fier comme un putain de coq après avoir explosé sa poule.

Direct dans son cul de salope

Pas le temps de niaiser, Marlène à quatre pattes, cul écarté. J’attrape ma bite, bien raide, et je la claque sur sa rondelle. Elle pousse un cri, moi j’en ai rien à foutre, je la force à prendre toute la queue d’un coup. Le sauna sent déjà la baise crade. La sodomie, c’est pas pour les fragiles.

Ça crie, ça couine, ça suce

Ma bite claque contre son cul trempé. Marlène dégouline comme une chienne. Chaque bourrade fait jaillir son jus de chatte sur mes couilles. Elle ouvre la bouche pour gueuler, je lui fous trois doigts dans la gueule pour la faire taire. Cul, bouche, elle veut tout prendre, cette pute.

Je la défonce sans pitié

Je bourrine comme un taré. Ses gémissements deviennent des râles. Son anus avale ma queue jusqu’à la garde. J’attrape ses cheveux, je tire fort, elle arque son dos comme une catin prête à se faire éclater. Je sens mon gland défoncer ses parois internes. Pas de tendresse, que du sale.

Un geyser de foutre dans son trou

Je tiens plus. Je la bloque contre le mur, j’enfonce tout, je crache mon foutre chaud dans son cul éclaté. Elle grogne, elle en veut encore. Le jus déborde de sa rondelle dilatée. Elle reste là, tremblante, cul ouvert, comme une vraie putain qu’on a bien salement enculée.